eric-ciotti-cg06CIOTTI ZOO CAP FERRAT - Le sous-titre d’un article paru aujourd’hui dans le journal local, Nice Matin, à propos de la commune de Villefranche sur Mer - qui entend faire valoir ses droits sur le terrain qui abrite le zoo de Saint Jean Cap Ferrat - ne pouvait laisser Éric Ciotti sans réaction puisqu’on peut lire cette phrase étonnate «Un arrangement vient d’être proposé au propriétaire anglais. Le Conservatoire du littoral et le conseil général se portant acquéreurs du terrain».

Le Député, Président du CG06 tient à préciser «que personne n’est habilité à prendre position au nom et à la place du Conseil général des Alpes-Maritimes dans ce dossier ».

Éric Ciotti rappelle que « le Conseil général des Alpes-Maritimes a toujours œuvré auprès du Conservatoire du littoral afin de préserver des espaces naturels sensibles et exceptionnels » et que selon lui  « Les Parcs Naturels Départementaux de l’Estérel, du Vinaigrier et des Glaïeuls, notamment, sont des exemples récents du travail entrepris en partenariat étroit avec le Conservatoire du Littoral.»

Et il précise que si le CG06 perçoit une taxe départementale sur les espaces naturels sensibles (TDENS) celle ci « ne peut être affectée qu’à des acquisitions d’espaces naturels sensibles» et bien qu’il soit personnellement « attentif aux questions environnementales, notamment à la préservation des espaces naturels dans la presqu’ile du Cap ferrat, tout comme au maintien d’un zoo dans les Alpes-Maritimes » c’est le Conservatoire du Littoral qui est seul habilité à décréter que le terrain sur lequel se trouve le Zoo présente un intérêt en terme de richesse de la faune et de la flore.

Et de conclure, aujourd’hui « La réponse à cette question n’appartient pas au Conseil général ».



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NICE LA FIN DU ZOO DE SAINT-JEAN-CAP-FERRAT ET DE SES ANIMAUX HEUREUX

ZOO SAINT JEAN CAP FERRAT ANIMAUX - Que vont devenir les heureux animaux du zoo de Saint Jean Cap Ferrat, près de Villefranche et Nice, qui ont charmé des générations d’enfants et d’adultes ? Victimes de prédateurs humains, rapaces spéculateurs immobilier, ils doivent dès la fin du mois disparaître des 16 000 m2 de terrain paradisiaque que le seul parc zoologique des Alpes Maritimes occupait sur la presqu'île azuréenne. La fermeture du zoo a été ...

| VW | Mardi 8 Septembre 2009