CRANE DURANUS TURQUIN ADN - Le crâne d’enfant retouvé à DURANUS près de Nice n’est pas celui du petit TURQUIN. C’est le résultat sans appel de la comparaison effectuée entre les traces d’ADN extraites des fragments de crâne d’enfant retrouvés le dernier jour de décembre 2007 au bas d’un pierrier, à flanc de montagne face à Duranus, et l’ADN de Michèle Bélanger, la mère de Charles-Edouard le garçonnet  de huit ans, disparu la nuit du 21 mars 1991 du domicile de son père Jean-Louis Turquin. Bien que clamant son innocence, le vétérinaire niçois a été en 1997, condamné par la justice à vingt ans de prison pour l'assassinat de son fils dont on a jamais retrouvé le corps. En juillet 2006, Jean-Louis Turquin a été libéré sous condition.
Le procureur de la République de Nice, Éric de Montgolfier libéré de l’hypothése Turquin, dont il regrettait le poids médiatique, mettra à disposition le matériel dont il dispose à ceux, parents d’enfant disparus ou magistrats en charge de ces dossiers, qui veulent faire d’autres comparaisons.
 
Avant qu’ils ne soient confiés au laboratoire de la police scientifique de Marseille, un médecin légiste avait estimé que les ossements crâniens rassemblés, appartenaient à un enfant âgé de 6 à 10 ans, qu’ils avaient sans doute entre six et trente ans d’ancienneté et peu vraisemblablement plus. Le sexe de l’enfant n’a pas été déterminé ni les conditions du décès.