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NICE RETOUR SUR LES CEREMONIES DU BICENTENAIRE DE GARIBALDIN'en déplaise aux éternels pisse-vinaigre (toujours aussi courageusement anonymes d'ailleurs et décidément réfractaires à l'orthographe et à la grammaire !) qui ont inondé le web d'inepties où vulgarité et méchanceté gratuites se disputent la place d'honneur, les cérémonies du 4 juillet furent, dans l'ensemble, à la hauteur de l'événement et à la taille du personnage que Nice honorait ce jour-là. Oublié, le piteux cent-cinquantième anniversaire célébré presque clandestinement en 1957 dans un Comté de Nice encore meurtri par les agissements d'Ezio Garibaldi, petit-fils du héros et fondateur des Groupes d'Action Niçoise sous le régime fasciste, nervis de sinistre mémoire qui écumèrent la ville entre 1941 et 1943. Balayé, l'"oubli" très politique de 1982 (centenaire de la mort du Héros) quand le maire d'alors, Jacques Médecin voyait dans l'ultime biographe français de Garibaldi, l'alors socialiste Max Gallo, un dangereux rival ! Bref, à quelques rares et très politiques exceptions près, Garibaldi a (enfin, serait-on tenté de dire) fait l'unanimité...Sans tomber néanmoins dans un angélisme béat -il y eut certes quelques "couac", certains excusables et d'autres pas-, on peut considérer, rejoignant en cela l'opinion de tous les observateurs extérieurs à Nice et des associations garibaldiennes françaises et italiennes présents, que la fête fut un succès populaire puisque ce sont entre 2 et 3000 personnes qui ont participé aux cérémonies protocolaires de la matinée (la rue Cassini noire de monde sur toute sa longueur est un spectacle qui vaut le détour !) et au moins autant aux festivités de l'après-midi et de la soirée (à Acropolis, la salle Apollon, forte de 2500 places assises, affichait quasiment complet pour le concert de l'orchestre des Alpes de la Mer tandis que parallèlement, le village franco-italien du jardin Albert 1er accueillait autant de visiteurs). On aurait pu faire mieux, bien sûr ! On peut toujours faire mieux... mais, le 4 juillet 2007, Nice a connu la plus grande manifestation garibaldienne depuis un siècle (seules l'inauguration de son monument, le 4 octobre 1891, et le premier centenaire de Garibaldi, le 4 juillet 1907, ont connu une affluence comparable ou supérieure).

Il n'entre pas dans nos préoccupations de rendre compte par le menu, quatre semaines après, vacances obligent, de cette journée. La presse écrite nationale et locale, les radios et les télévisions tant françaises qu'italiennes, et divers sites internet s'en sont largement fait l'écho. Mais il était difficile de ne pas publier quelques unes des remarquables photographies d'André Polkowski, Zulaan de son nom d'artiste, l'organisateur du Festival International de l'Image et de la Photographie Numériques qui s'est tenu au mois de juin au Parc Phoenix de Nice. Sur son site, le Comité répond à quelques questions que peuvent se poser légitimement les rares personnes qui ont eu accès à la prose lénifiante de ses détracteurs...

Cliquer ici pour lire l'article complet et voir les photographies sur le site du Comité International du Bicentenaire de Jòusé Garibaldi


 

 

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